
En cette veille de Journée mondiale de l’AVC, le site LCI.fr publie un article intitulé «Se prémunir d’un AVC, c’est possible !» et sollicite Marie-Germaine Bousser, auteure du livre AVC : en réchapper et y échapper, paru dans la collection Choc santé.
Extrait : « Il n’est pas toujours possible de prévenir un AVC. “Parmi les facteurs de risque, certains tels que l’âge, le sexe (masculin), le poids de naissance (inférieur à 2,5kg) ou une histoire d’AVC dans la famille ne sont pas modifiables”, prévient Marie-Germaine Bousser, professeur de neurologie à l’université Paris-Diderot et membre titulaire de l’Académie nationale de médecine dans son livre AVC : en réchapper et y échapper (éditions Muscadier et Inserm). En revanche, il est possible d’agir sur d’autres facteurs. »
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La moitié des personnes qui survivent à un accident vasculaire cérébral conservent des séquelles physiques ou intellectuelles de l’attaque. Ces séquelles engendrent souvent des changements brutaux de mode de vie ‒ impliquant parfois des dépendances ‒, ce qui explique que les AVC soient particulièrement redoutés... d’autant que ceux-ci sont souvent perçus comme arbitraires et inévitables....

Marie-Germaine Bousser est professeur émérite de neurologie à l’université Paris-Diderot. Membre titulaire de l’Académie nationale de médecine, elle consacre l’essentiel de ses activités clinique, d’enseignement et de recherche à la pathologie vasculaire cérébrale. Elle a dirigé le service de neurologie à l’hôpital Lariboisière à Paris. Elle est également membre fondateur de la Société française neurovasculaire...